
Opposer des chiffres et se limiter à une contre-argumentation ne remplacera aucun débat.
En démocratie, on se parle, on s’écoute, on compare, on réfléchit ensemble aux réalités du terrain et à la meilleure façon de résoudre le problème.
Avec l’ensemble du corps médical.
Avec les citoyens.
Car tout le monde est concerné!!
Ici, comme on politique, on s’invective, on se déchire, on se divise.
L’un aurait tout faux et l’autre totalement raison.
Et on abandonne les questions qui se posent sur les réseau sociaux pour laisser libre cours à toutes sortes de dérives potentielles!
Et selon plusieurs juristes, on s’assied sur certains articles de la Constitution sous prétexte d’Etat de droit ou de raison d’Etat! C’est LAMENTABLE et INDIGNE d’un Etat dit « démocratique ».
Nous devrions avoir la possibilité de mettre les deux points de vue en parallèle.
Et de demander ensuite à une personne sans avis de vérifier les qui se rapproche le plus de la vérité.
Un travail de journaliste en fait.
Mais un travail de dingue.
Et si l’un ment, le dénoncer.
Analyser les chiffres reste pourtant ce qui a de plus difficile !
(Bruno Clerckx)
No responses yet